RARE MONTRE DISNEY PICSOU UNCLE SCROOGE ANNÉES 70 REMONTAGE MANUEL SUPER ÉTAT

Description

MAIS QUI EST PICSOU ???

Créé en 1947 par Carl Barks, Balthazar Picsou, plus connu sous le nom de Picsou, est d’abord apparu en bande dessinée dans « Noël sur le Mont Ours » où il rencontre Donald et ses neveux pour la première fois. Originaire d’Écosse, Picsou a déménagé aux États-Unis pour faire fortune. Sa première apparition animée remonte au 3 octobre 1955, dans le générique du Mickey Mouse Club. Dans les années 1950, Picsou connaît ses heures de gloire en bande dessinée, avant d’être repris par des auteurs modernes du XXIe siècle et de faire des apparitions sur petit et grand écran. Sa biographie, « La Jeunesse de Picsou », a été écrite et dessinée par Keno Don Rosa, basée sur les informations distillées par Carl Barks dans ses histoires.
Balthazar Picsou, plus connu sous le nom de Picsou, doit son nom à une série de références culturelles. Son nom original, Scrooge McDuck ou Uncle $crooge, est un hommage direct à Ebenezer Scrooge, le personnage central de « Un chant de Noël » de Charles Dickens, réputé pour son avarice. En France, il fut d’abord appelé Oncle Harpagon, en référence à l’Avare de Molière. Le nom « Picsou » est une contraction de « pique-sou », qui décrit une personne avare. En somme, Picsou porte un nom qui reflète parfaitement son caractère avare, l’un de ses traits de personnalité les plus marquants. Picsou, de son vrai nom Balthazar Picsou, est le canard le plus riche du monde, connu pour sa radinerie légendaire. Oncle de Donald Duck, il est souvent représenté plongeant avec délice dans son coffre rempli de dollars. Sa fortune, il la doit à son sens des affaires, mais aussi à sa ténacité et son aversion pour les dépenses inutiles.

Son avarice est si prononcée qu’il est allé jusqu’à prêter de l’argent à son neveu Donald, en contrepartie de travaux domestiques. Malgré ce trait de caractère, il reste un personnage emblématique et apprécié, notamment par les jeunes lecteurs. Ses aventures, souvent imprégnées de leçons de vie, permettent d’aborder des thèmes tels que l’éthique du travail, la loyauté et l’importance de la famille.

MONTRE DE COLLECTION !!!

De tout le domaine horloger, la montre ancienne est certainement l’objet le plus collectionné. Les premières montres portables datent du début du XVIe siècle, quand les artisans horlogers se mirent à réaliser des réductions d’horloges de table, devenues transportables grâce à l’invention du ressort. Certains historiens pensent que le besoin d’une horloge mobile venait des riches marchands de la Renaissance. Ils avaient à connaître l’heure dans leur « voiture » qui leur tenait lieu de bureau. La montre de carrosse naquit de ce besoin. La montre pendentif, puis la montre de poche n’en seraient que la réduction.

Les premières montres sont rarement signées. Ce n’est qu’en fin du XVIIe siècle qu’apparaissent quelques mouvements signés (sur les montres de grands horlogers du type Breguet, Leroy, Patek Philippe…). Au fil du XVIIIe siècle on trouve de plus en plus fréquemment une signature sur le cadran et sur le mouvement. Au XIXe on la trouve parfois sur le boîtier ou sur le couvercle intérieur. La signature de la montre est aujourd’hui un important critère pour le collectionneur car elle permet de situer précisément l’époque, le contexte et le lieu, car on dispose d’un nombre étonnant de renseignements sur certains horlogers.

LES MONTRES DISNEY

Parce qu’aucune industrie n’a su lui résister, l’horlogerie s’approprie la mythique souris en 1933. C’est la société américaine Ingersoll Watch qui lance la « Mickey Watch Mania ».  Son prix était alors de 3,25 $ avant de descendre à 2,95 $. Une montre-gousset a été fabriquée en même temps et commercialisée au prix de 1,50 $. La montre-bracelet originale avait un cadran rond et comportait trois Mickey minuscules sur un disque indiquant les secondes. Ces premières montres figurent parmi les objets de collection « disneyens » les plus recherchés. La montre Mickey Mouse a été fabriquée sans aucune interruption depuis 1933, à l’exception d’une période dans les années 1960 où seuls les mots « Mickey Mouse » figuraient sur le cadran. En 15 ans, Ingersoll vend plus de 5 millions de montres. Plus qu’un succès, c’est une révélation pour toute l’industrie horlogère : Mickey fait vendre! Depuis, de Swatch à Bulova et de Nixon à Seiko, les manufactures lui ont dédié des dizaines de garde-temps. Certains sont devenus de vrais collectors.
Ingersoll fut remplacé ensuite par U.S. Time, puis par Timex. L’une des montres Disney les plus intéressantes est une montre Dingo, sur laquelle les chiffres sont placés en ordre inverse et les aiguilles Dingo fonctionnent aussi à l’envers. Bien qu’on ne puisse lire l’heure à l’envers sans faire un certain effort, ces montres fabriquées par Helbros devinrent immédiatement des objets de collection prisés quand elles furent commercialisées en 1972. Au départ, elles coûtaient 19,95 $. Vingt ans plus tard, elles valaient déjà jusqu’à 700 $ sur le marché des collectionneurs. Dans un programme récent, Disney a décidé de reproduire certaines de ses montres classiques et The Disney Store a mis la montre à l’envers de Dingo en premier sur la liste des objets sélectionnés. En 1972, Bradley, une division d’Elgin National Industries, a repris la fabrication des montres Disney et, en 1987, le contrat a été attribué à Lorus. Aujourd’hui, les montres Disney sont fabriquées par plusieurs sociétés et par des manufactures de luxe à des prix ahurissants.

DESCRIPTION et SOUS LE CAPOT

Dimensions : largeur hors remontoir 32 mm, longueur à l’extrémité des anses 37 mm et 10 mm d’épaisseur verre compris. Modèle unisexe (voir les photos de la montre au poignet).

Boîtier : en métal chromé avec le fond vissé en acier inoxydable signé « Walt Disney Production, dans un superbe état comme l’ensemble de la montre, les photos traduisent parfaitement ce qu’elle est.

Cadran : Cadran chiffres arabes avec motif peint « PICSOU », marqué « Made In France » sous le chiffre « 6 », aiguilles « bâtons », la trotteuse centrale se remarque par sa couleur rouge. Observez la délicat « chemin de fer » sur la circonférence marqué par des petits points.

Verre : plexi, neuf, bombé.

Mouvement : Il s’agit du calibre Français CRC 860. Souhaitant maîtriser son approvisionnement en ébauches Roskopf (à échappement à ancre à chevilles), Cupillard-Rième fait dessiner par le Cetehor (Centre technique de l’Industrie horlogère), à Besançon, un calibre (CVR 45) et réaliser l’outillage nécessaire à cette production, qu’elle confie aux Ets Parrenin, de Villers-le-Lac. Intéressée par ce calibre, la société André Charpier (14 rue Victor Hugo), dirigée par Pierre Charpier, se rapproche d’elle et, le 11 mars 1970, toutes deux créent le groupement d’intérêt économique Montres Espéranto et la marque CRC (Courage Rayonnement Concentration).

Pour en revenir à ce calibre CRC 860, il a été créé au début des années 70, mécanique à remontage manuel réalisant 18000 alternances par heures avec échappement à cheville, protégé par 17 rubis. Révisé par mes soins il est en parfait état de fonctionnement. Notez que ce sont des frais que vous n’aurez pas à faire sachant qu’une révision complète pour ce genre de montre coûte autour de 130 € chez un horloger « raisonnable » comme moi.

Bracelet : Il est en cuir de vachette véritable, comme neuf, de couleur bleue, consolidé par une couture. Il fait 16 mm de large aux entres cornes mais s’élargit à 16 mm pour finir à 14 mm coté boucle. Sa longueur totale peut accueillir un poignet d’une largeur maximale de 21,5 cm.

Observations et conclusions : Les amateurs et collectionneurs qui affectionnent les montres Disney depuis leur création en 1933 savent qu’il est rare d’en trouver de cette qualité et dans cet état. Les montres «Disney Dial» sont très en vogue en ce moment et on les retrouve partout : Instagram, plateformes de ventes spécialisé et sites d’enchères. Les modèles les plus répandus sont les plus accessibles. J’adooooore les montres Mickey ! Pas seulement pour leur design fascinant, non ! Pour moi, avoir une montre Mickey dans sa collection aide à ne pas perdre de vue le plaisir que les montres nous procurent, à ne pas trop se prendre au sérieux et à conserver son âme d’enfant.